14 et 15 août,Visite du musée d'art contemporain de Lisbonne.
Bon, l'art contemporain c'est l'art contemporain et même si je dis ça, j'y ai trouvé mon compte. Cependant, on a carrément pris notre pied au deuxième étage, au Musée Coleçao Berardo où on retrouve un genre de cours d'histoire de l'art. Enfin, plus d'une quinzaine de salles recélant chacune ses trésors, révélant chacune un mouvement, de 1900 jusqu'à 1960; Cubisme, Dadaïsme, Constructivisme, Abstractionnisme, Surréalisme, Informalisme, Expressionnisme, Nouvelle École de Paris, Néo-dadaïsme et Pop Art, qu'il soit britannique ou américain et j'en passe, ouf! Je m'abstiendrai quant à l'énumération des protagonistes, mais croyez-moi, la liste est impressionnante! On pensait faire la visite du Parc Edouard VII, on en fera un petit bout, mais il fait trop chaud pour marcher dans les jardins, une grande partie est en plein soleil. On rentre donc à la maison et surprise, nos amis Martine et Patrick désirent nous rejoindre en Sardaigne, on annule une semaine de réservation et on relance les recherches pour trouver un peu plus grand.15 août, Paço de Arcos. Lavage et ménage pour être fin prêt demain, c'est l’escapade à Porto. On complète la recherche pour la Sardaigne, ça devrait être bien. Pour souper, on a petit goûter indien, ça tombe bien, il y en a un pas très loin, ça se fait à pied et il est bien coté dans Tripadvisor. C'est incroyable la différence au niveau des déplacements lorsque le terrain est plat et lorsqu'il est tout en pente comme ici. Oui, c'est plus fatiguant, mais c'est aussi beaucoup plus difficile de se repérer, enfin, même si c'était pas loin, on s'est un peu paumé. Il y avait une fête de quartier, nous étions rendu dans un coin de gros édifices, style HLM et certes l'atmosphère était à la fête, mais nous n'avions simplement pas l'impression d'avoir été invité. Parfois, le concept de minorité visible comme on dit chez nous peut revètre une toute autre couleur! Bref, il y avait de la musique, des BBQ de partout et on a juste pas fait attention à nous. On a finalement trouvé l’Indien, plus cher et moins bon que chez nous, too bad!