31 janvier, El Nido
Ce matin nous irons déjeuner dans un autre établissement, le « Coco Resort », l'aménagement paysager est très beau; une cour fermée à l’arrière, de grands palmiers, une belle piscine avec patio en bois à 45°, comme à la maison et des dalles de béton qui forment un joli petit chemin avec une courbe des plus élégante. Les dalles sont fait maison et des feuilles de plantes tropicales y sont imprimées. C'est encore un français qui tient la place, un jeune quarantenaire à la chevelure abondante, on discute un peu, voilà déjà plus d'une dizaine d'années qu’ils sont sur Palawan, c'est toute une petite communauté française qui semble s'être posée ici. Puis nous allons à l’imprimerie, toujours l'idée de la promenade digestive après des déjeuners un peu plus copieux! En après midi nous profitons de nos derniers moments sur El Nido, pas de plage, le temps ne s'y prête pas, Scrabble et Yum feront l'affaire. Un coup d'œil aux nouvelles et on entend parler du Québec pour les mauvaises raisons. Des effluves nauséabondes proviennent depuis l’arrière de la maison, on entend David discuter ferme avec les voisins, problèmes de fosses, mais pas un faux problème, ça va aller car on quitte demain. Nous irons évidemment conclure au resto de la plage, ajouter quelques bons souvenirs gustatifs avant de retourner dans la campagne nous nourrir du voyage... et de riz!
« Une vie en gougounes »
Anne me fait la remarque, c'est quelque chose tout de même passer sa vie en gougounes. En effet, c'est certain qu'ici plusieurs ne mettront jamais de souliers de leur vie! Que ce soit les gens des bateaux, les femmes de maison et même les travailleurs de la construction! Cela dit, d’autres n’auront même jamais eu de gougounes.