2 mars, Auckland
Debout dès potron-minet nous quittons pour l'aéroport, l'autoroute est « jammée » à partir de 6 h 30! La remise de la voiture se passe comme une lettre à la poste, mieux, un courriel; deux hommes en chemises blanches nous attendent, on leurs remet les clefs, la navette est là et hop, nous voilà à l'embarquement. La journée n'est pas finie pour autant. Le système d'inspection est très efficace, tout automatique, le passeport est scanné, la photo se prend toute seule et les douaniers ne sont pas tatillons, ils ont même le sourire. Vol confo, l'avion est récent et les films également, j'en profite pour voir « Arrival » de Denis Villeneuve. Intéressant, malgré que je ne sois pas un fan de science fiction. Et ça marche toujours rondement en sortant de l'avion; machine à passeports, Vodafone est là pour l'Internet et ça fonctionne (faudra voir en montagne), les sous, la voiture et on peut quitter Auckland comme prévu à 18 h. Après le bouchon de circulation de la ville ça se dégage rapidement, la nature prend d'emblée le dessus et en à peine plus d'une heure nous arrivons à destination, un Air BnB près d'Hamilton. On se rend ensuite dans un restaurant, un des deux de la petite ville de Te Kauwhata. C'est un vieil hôtel, la cuisine est rustique mais correcte, le prix aussi, enfin presque. Par contre, c'est encore le prix des activités ici qui risque de nous heurter. Ah oui, l'essence également, entre 1,80 $ et 2,10$ le litre et y'a encore pas mal de km à faire. On a glané sur le net des astuces pour économiser en Nouvelle-Zélande, il semble qu'il faudra faire du « couponning »! C'est fait, nous avons le billet sur Bali pour la suite du Japon et après, who knows… Nous serons de retour à Montréal depuis Londres le 6 juin prochain. Good grief, dirait Linus.